L’efficacité du traitement peut être évaluée de différentes manières et dépend aussi des techniques. En principe nous visons un changement comportemental. Il peut être remarqué dans les actions (le client commence son travail de master alors qu’elle n’arrivait pas à s’y mettre) ou dans les émotions (le client remarque qu’il se sent plus calme remarque quand le téléphone sonne alors que la sonnerie générait un stress). Ce deuxième exemple demande un certain degré d’insight. Les changements peuvent aussi se remarquer dans le discours du patient qui modifie ses croyances limitantes ou dans le tonus musculaire et l’apparence physique comme l’activité « réflexe » du patient qui s’équilibre. (enfants hyperactif qui s’apaise, personne dépressive qui se met en activité de manière naturelle, équilibre de la masse corporelle…). En général on aime évaluer l’augmentation de l’adaptabilité, de la conscience, de la tolérance et de la résilience du patient.
Dans le travail sur les phobies, la performance et les addictions l’évaluation de l’efficacité de la prise en charge est simple car elle est clairement définie.
